Retour sur les rencontres AVECsanté au Havre

Les 14 et 15 mars 2025 se sont déroulées les rencontres « AVECsanté » au Carré des Docks au Havre.
« Les pieds sur Terre, la tête dans les étoiles » était le fil rouge de ces rencontres. Animées par les fédérations régionales du mouvement AVECsanté, un mouvement dont l’objectif est de développer l’exercice coordonné en équipe pluriprofessionnelle à travers les MSP (Maisons de Santé Pluriprofessionnelles).
Les rencontres se sont ouvertes par un discours de Patrick VUATTOUX, co-président AVECsanté, puis les congressistes ont été accueillis par les co-présidents de la FMPS Normandie – Mégane DESCAT-MONTAGNOL, Jacques FRICHET et Christophe PAUL.
Monsieur Édouard PHILIPPE, maire du Havre et président de Le Havre Seine Métropole, a ensuite pris la parole pour souhaiter la bienvenue au Havre à l’ensemble des professionnels présents, avec un discours rempli d’humour.
La première journée a débuté avec « les pieds sur terre ». Un échange a eu lieu entre le ministre chargé de la Santé et de l’Accès aux soins, Yannick NEUDER, et les co-présidents AVECsanté : Emmanuelle BARLERIN, Patrick VUATTOUX, Pascal GENDRY, sur l’accès aux soins, un défi pour les MSP.
Ces deux jours ont été riches en conférences sur des thématiques diverses : démarche qualité, bien-être des équipes, actions de santé publique, prévention, système d’information partagé, coordination, implication des usagers…
Ces journées AVEC les équipes ont permis des échanges, de la réflexion, du partage d’expériences et des interactions entre les professionnels de santé travaillant en exercice coordonné.
Entre conférences et plénières, des viennoiseries étaient proposées pendant que chaque congressiste déambulait d’un stand à un autre pour rencontrer les sponsors, associations et instances présentes.
Pendant la pause méridienne, un buffet déjeunatoire était proposé et les fédérations régionales se sont affrontées dans « le Grand Challenge des Rameurs ».
Ces rencontres se sont terminées « la tête dans les étoiles » avec une dernière plénière sur les perspectives et évolutions pour les équipes.
Ces journées ont accueilli plus de 1300 professionnels de santé, dont 250 professionnels normands, qui sont repartis boostés, avec des idées et des envies plein la tête, pour dynamiser leur équipe et améliorer le parcours de soins de leurs usagers.
L’année prochaine, les rencontres auront lieu les 6 et 7 mars à Lyon.
Au cours de ces journées, deux outils ont été proposés aux équipes :
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Un guide IPA : intégrer une MSP en tant qu’IPA / Intégrer une IPA dans ma MSP
https://avecsante.fr/wp-content/uploads/2025/03/VF_guide_IPA_2025_web.pdf
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Le projet AVEC vos outils : Construction collaborative d’une boîte à outils pour la prévention des conduites addictives
https://avecvosoutils.fr/
Retrouvez en vidéo les 3 plénières de ces rencontres :
Coup de pouce
Une étudiante, Alice MALA (interne en 5e semestre de médecine générale), réalise sa thèse sur les retours et attentes des médecins généralistes concernant l’astreinte palliative du GHT Havrais. Elle cherche à contacter des médecins installés sur le territoire.
📧 Si vous êtes concerné·e ou souhaitez l’aider, vous pouvez la joindre à : alice-mala@hotmail.fr
Noémie Crosnier, étudiante en Master 2 Management des Activités de Santé à l’université de Caen, mène un travail de recherche sur l’utilisation de supports adaptés (flyers avec pictogrammes, vidéos en LSF, etc.) par les médecins traitants dans le cadre des dépistages organisés auprès des personnes en situation de handicap.
Elle cherche à diffuser un questionnaire à destination des médecins traitants.
👉 Pour y répondre : Accéder au questionnaire
📧 Contact : noemie.crosnier@gmail.com
📞 06 62 00 66 72
Une Semaine de Découverte de la Maladie de Parkinson : Sensibilisation et Échanges avec des Professionnels de Santé
Le Centre de Soins Médicaux et de Réadaptation de la Roseraie organise une semaine de découverte de la maladie de Parkinson, qui se tiendra du 14 au 18 avril 2025.
L’objectif est de sensibiliser le public, d’informer les patients et leurs proches, et de leur donner des outils pour mieux gérer la maladie au quotidien. Pour cela, plusieurs professionnels de santé animeront des ateliers et conférences sur différents aspects de la maladie.
La maladie de Parkinson est une pathologie neurodégénérative qui touche des milliers de personnes chaque année en France. Les patients, leurs familles et les aidants peuvent parfois se sentir démunis face à l’évolution de la maladie et ses multiples facettes. Pour répondre à ce besoin d’information et d’accompagnement, le Centre de Soins Médicaux et de réadaptation de la Roseraie organise cette année une semaine de découverte de la maladie de Parkinson du 14 au 18 avril 2025. Ce rendez-vous annuel, ouvert à tous, offre une occasion unique d’apprendre, d’échanger et de trouver des réponses aux questions qui préoccupent patients et proches.
L’objectif principal de cette semaine thématique est de fournir aux familles, aux patients et à leurs aidants des informations précieuses sur la maladie de Parkinson. Au programme, des ateliers animés par des professionnels de santé spécialisés, incluant une infirmière, une psychologue, une diététicienne, une kinésithérapeute, un éducateur en activité physique adaptée et une ergothérapeute. Chacun de ces experts mettra son savoir-faire à la disposition des participants pour leur permettre de mieux comprendre cette maladie complexe, d’apprendre à
mieux la gérer au quotidien, et de découvrir les moyens d’améliorer la qualité de vie des patients.
En apprendre plus sur la maladie
Une bonne connaissance des symptômes permet aux patients et à leurs proches de mieux les identifier et d’adapter les soins en conséquence. Le traitement médicamenteux joue un rôle clé dans le contrôle des symptômes moteurs, mais il peut aussi entraîner des effets indésirables. Savoir reconnaître ces effets et les communiquer aux professionnels de santé permet d’ajuster les traitements de manière plus précise, améliorant ainsi la qualité de vie du patient. Un suivi régulier et une bonne compréhension des médicaments permettent de maximiser leur efficacité tout en minimisant les risques de complications, offrant ainsi aux patients une meilleure maîtrise de leur maladie.
L’importance de l’activité physique
L’une des thématiques centrales abordées pendant cette semaine est l’importance de l’activité physique dans le cadre de la maladie de Parkinson. En effet, il est prouvé que l’exercice physique aide à ralentir la progression de certains symptômes de la maladie, tels que la rigidité musculaire, les tremblements et les troubles de la motricité. La kinésithérapeute et le moniteur en Activité Physique Adaptée interviendront pour expliquer comment et pourquoi l’activité physique, adaptée à chaque patient, joue un rôle clé dans le maintien de l’autonomie et de la mobilité.
L’alimentation
L’alimentation joue un rôle crucial dans la gestion de la maladie de Parkinson, notamment pour prévenir les troubles de la déglutition, fréquents chez les patients au fur et à mesure de l’évolution de la maladie. Les difficultés de déglutition peuvent entraîner des risques de fausses routes alimentaires, de malnutrition et de déshydratation, ce qui peut gravement affecter la qualité de vie du patient.
Une alimentation adaptée permet non seulement de maintenir un bon état nutritionnel, mais aussi de prévenir ces complications.
Soutenir les proches aidants
Un autre aspect souvent négligé, mais tout aussi crucial, est l’accompagnement des proches aidants. Ces derniers jouent un rôle central dans le quotidien des patients, mais leur propre bien être peut parfois être mis à mal par la charge émotionnelle et physique de leur rôle. La psychologue de l’équipe interviendra pour proposer des stratégies de soutien psychologique, tant pour les patients que pour leurs aidants. Le stress, l’anxiété et la fatigue peuvent être des défis importants, et il est essentiel de reconnaître et de traiter ces difficultés pour maintenir un équilibre familial et émotionnel.
Un moment d’écoute et de partage
Cette semaine de découverte favorise les échanges entre les différents acteurs du soin, qu’il s’agisse des professionnels de santé ou des proches, et permet à chacun de mieux appréhender cette maladie souvent mal comprise. En offrant un espace pour poser des questions, apprendre de nouvelles stratégies et découvrir les ressources disponibles, cet événement est un véritable soutien pour les personnes confrontées à la maladie de Parkinson, dans le but de mieux vivre avec cette pathologie.
Le Centre de Soins Médicaux la Roseraie accueille en Hôpital de Jour des personnes âgées présentant des troubles de la marche et de l’équilibre, ayant déjà fait une chute ou présentant un risque élevé de chutes. Les patients peuvent être adressés par leur médecin traitant ou un spécialiste. Une fois sur place, ils bénéficient d’un suivi médical complet et personnalisé. Le programme de soins inclut une équipe pluridisciplinaire composée d’un kinésithérapeute, d’un moniteur en Activités Physiques Adaptées (APA), d’une diététicienne, d’une psychologue et d’une infirmière. Ce travail en équipe permet d’aborder les différents aspects des troubles de la marche et de l’équilibre, de manière globale et adaptée aux besoins individuels de chaque patient. L’ensemble de ces interventions est supervisé et coordonné par un médecin, garantissant un suivi médical optimal et une prise en charge adaptée aux besoins de chaque patient.
L’objectif principal de l’hôpital de jour est de réduire le risque de chute, d’améliorer la qualité de vie des patients âgés, et de permettre à ces derniers de retrouver une autonomie et une sécurité dans leurs déplacements.
Pour plus d’informations, vous pouvez contacter l’infirmière Coordinatrice responsable du projet, Madame Verdière Léa, au 02 35 54 76 61.
Pour vos patients qui souhaitent en savoir plus, merci de contacter directement le secrétariat au 02 35 54 74 00.
Pour vous inscrire, merci d’écrire à l’adresse suivante : idehdj@roseraie.fr
Humour



NOUVEAUTÉ AU GHH : Traitement de la Fibrillation Atriale par électroporation avec modélisation 3D de l’image
La Fibrillation Atriale (FA) est l’arythmie cardiaque la plus fréquente et un enjeu majeur de santé publique, son incidence devant doubler d’ici 2060. L’hôpital Jacques Monod, seul centre normand équipé du dernier cathéter combinant électroporation et reconstruction 3D, améliore la prise en charge, sécurise les procédures et réduit les délais d’attente. Explication et découverte de cette innovation majeure pour notre établissement.
La FA est la maladie affectant le rythme cardiaque la plus fréquente. Le mode de vie moderne et sédentaire amène à augmenter son risque de survenue. On estime que celui-ci va doubler entre l’année 2010 et l’année 2060, passant d’une personne sur cinq affectée au cours d’une vie à une personne sur trois. La FA est pourvoyeuse de nombreux problèmes de santé comme l’accident vasculaire cérébral, l’insuffisance cardiaque et, de façon générale, un risque de survenue d’une mortalité prématurée. En conséquence, la FA est un problème de santé publique majeur représentant 1 à 2 % des dépenses de santé des pays développés.
Pendant de nombreuses années, seules des solutions médicamenteuses étaient proposées, avec des résultats décevants. À la fin des années 90, ont émergé des traitements interventionnels nommés « ablations », qui consistent en la création de lésions (cicatrices) dans le muscle cardiaque responsable de l’arythmie. Ces techniques d’ablation visent à améliorer les symptômes et, si possible, à guérir définitivement cette maladie. Au fil du temps, des améliorations technologiques majeures ont été apportées, dont l’une des plus marquantes est l’utilisation de systèmes de reconstruction tridimensionnelle. Celui-ci permet de reconstruire, en 3D, les cavités cardiaques dans lesquelles la procédure d’ablation doit être réalisée. Il en résulte une importante amélioration de la sécurité de la procédure, avec une efficacité bien plus marquée.
Au cours des années 2020, une deuxième innovation majeure dans l’ablation de la FA est apparue : l’électroporation. Ce matériel permet d’effectuer des lésions cardiaques sans émettre de température (à la différence de la technique historique : la radiofréquence). Cette nouvelle énergie permet de réduire de façon majeure le temps d’intervention tout en diminuant le nombre de complications potentielles, avec une efficacité comparable à la technique antérieure de radiofréquence. Cette énergie ne permettait pas de recourir à un système de reconstruction tridimensionnelle, mais très récemment, sont apparus de nouveaux cathéters couplant la technique d’électroporation à un système de reconstruction tridimensionnelle. La combinaison de ces deux techniques bouleverse notre vision de l’ablation de la FA en combinant les avantages des deux technologies.Ce cathéter très innovant est pour le moment limité à un nombre restreint de centres en France. L’hôpital Jacques Monod est le 12ème centre équipé et le seul centre normand à ce jour. Celui-ci va permettre de réduire nos délais d’attente, d’augmenter la sécurité des interventions et de proposer ce traitement à des populations plus fragiles.

Repas de secteur du 19/12/2024
Voilà maintenant près de 7 ans que les professionnels de santé des quartiers Sud (Observatoire, Graville, Soquence, les Champs Barets, Vallée/Béreult, Quartier de l’Eure, Saint-Nicolas, Les Neiges) se retrouvent tous les 3 mois autour d’un buffet dressé le midi au Art Sport Café.
Pour cette déclinaison du « Café du dimanche » mis en place par les IDEL des quartiers Sud, l’ensemble des acteurs médicaux et paramédicaux ont été conviés.
Ainsi, ils étaient encore une cinquantaine de participants pour cette édition spéciale « Noël », où les pulls de Noël étaient de rigueur et durant laquelle un Secret Santa fut organisé, orchestré par Sonia, IDEL sur le quartier de l’Eure.

Interview du Dr. Jean-Luc DUMENIL
Qu’est-ce qui vous a poussé à participer à ce type d’événement dès le départ ?
En fait, c’est surtout pour rencontrer les collègues. J’en connais certains, mais pas tous. C’est très convivial et ça permet de voir les choses sous un autre angle.
Qu’est-ce qui vous a semblé attractif dans cette initiative ?
Principalement, c’est le fait de rencontrer les collègues, d’échanger, et parfois même de parler d’autre chose que de médecine. Ce n’est pas négligeable.
Comment décririez-vous vos expériences lors de ces repas ?
Au début, on se demande ce qu’on fait là, mais rapidement, on réalise que c’est très convivial. Cela permet de mettre des visages sur des noms, ce qui est très important. Avec notre maison pluridisciplinaire, nous vivons une expérience similaire : avoir des visages sur des noms change tout dans la pratique. C’est vraiment une excellente initiative.
Y a-t-il un moment ou un échange qui vous a particulièrement marqué ?
La première fois où je suis venu. Je ne savais pas à quoi m’attendre, mais c’était vraiment génial. L’ambiance était bonne et tout le monde était heureux d’être là. Dans une profession parfois perçue comme sinistrée ou un peu triste, ces rencontres font ressortir le côté positif de ce que nous faisons, notamment le travail en commun.
Pensez-vous que ces repas ont un impact positif sur vos relations professionnelles et personnelles ?
Professionnellement, oui, car cela nous pousse à nous rappeler que nous ne sommes pas seuls et que nous faisons partie d’une équipe. Sur le plan personnel, c’est aussi l’occasion de rencontrer des gens avec qui le courant passe bien, notamment pour les jeunes installés. Cela leur permet de tisser des liens d’amitié et de s’ouvrir davantage.
Pensez-vous que ces rencontres contribuent à une meilleure dynamique entre les professionnels de santé du quartier ?
Oui, il y a un aspect positif. Cependant, si cela peut influencer nos pratiques professionnelles, c’est une autre question. Ces rencontres sont un premier maillon, mais d’autres initiatives seraient nécessaires pour aller plus loin.
Voyez-vous un impact sur la qualité des soins ou la collaboration interprofessionnelle dans le quartier ?
En termes de collaboration, il n’y a pas photo. Par exemple, aujourd’hui, j’ai discuté avec une infirmière concernant un de mes patients. Elle m’a donné des informations précieuses que je n’aurais pas eues autrement. Ces échanges renforcent forcément notre efficacité.
Interview du Dr. Alice RIBOULET
Qu’est ce qui t’a poussé à participer à ce type d’événement dès le départ ?
Depuis le début de mon installation, il y a environ 6 ou 7 ans, j’ai eu l’envie de connaître les visages des professionnels du quartier et de les rencontrer en chair et en os.
Qu’est-ce qui t’a semblé attractif dans cette initiative ?
C’est une rencontre qui repose davantage sur la convivialité que sur un cadre strictement professionnel. Cela permet de se rencontrer autrement qu’en travaillant.
Est-ce que tu avais des attentes particulières en venant la première fois ?
Oui, j’espérais me retrouver à table avec des personnes que je ne connaissais pas, plutôt que de rester naturellement avec les gens que je côtoyais déjà. Mon attente principale était de voir de nouveaux visages, et cela s’est réalisé à chaque fois, car, de fil en aiguille, on change d’interlocuteurs.
Comment décrirais-tu ton expérience lors de ces repas ?
C’est une expérience sympathique qui offre une véritable pause au milieu de la journée de travail. Contrairement aux autres jours, c’est un moment de détente. Parfois, le timing est un peu serré, mais cela reste agréable. C’est également une bonne expérience gustative, car les repas changent un peu de la routine. De plus, à mesure que de nouveaux arrivants s’installent dans le quartier, je fais la connaissance de plus de monde.
Y a-t-il un moment ou un échange qui t’a particulièrement marqué ?
Oui, le karaoké m’a marqué, même si je n’ai pas pu rester à cause du travail. Sinon, la première fois où je suis venue reste mémorable, car je ne connaissais encore personne. J’ai également aimé les moments où j’ai pu venir avec de nouveaux collègues, comme Benjamin ou Pauline. C’est toujours agréable de présenter de nouveaux visages.
Ces rencontres mettent-elles en avant le côté dynamique du quartier ?
Tout à fait. Cela montre que nous sommes nombreux à vouloir nous connaître, ce qui donne envie aux nouveaux arrivants de rester dans le quartier.
Penses-tu que ces rencontres contribuent à une meilleure dynamique entre les professionnels de santé du quartier ?
Oui, absolument.
Vois-tu un impact sur la qualité des soins ou la collaboration interprofessionnelle ?
Oui, clairement. Grâce à ces rencontres, les mises en relation sont beaucoup plus faciles, notamment pour la MSP. Par exemple, beaucoup de professionnels ont répondu positivement à mes sollicitations. De plus, pendant le COVID, ces échanges dynamiques et constructifs ont été précieux. Sans ces initiatives, je pense que la communication aurait été moins efficace.
Un dernier mot ?
Merci à toi d’organiser tout cela avec autant d’assiduité et de rigueur. Rendez-vous dans trois mois, en espérant que cela continue encore longtemps !
Bertrand CLODIUS, IDEL
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Coup de pouce

Thèse visant à établir un état des lieux de l’utilisation de l’échographie pulmonaire par les médecins généralistes
Je me présente Jean-Marc LI , médecin généraliste remplaçant étudiant à la faculté de Nantes.
On organise avec ma directrice Dr Marion Lassalle Gerard, une thèse sur l’état des lieux de l’utilisation de l’échographie pulmonaire des médecins généralistes dans un contexte de pneumonie aigue.
Via un questionnaire quantitatif.
Cible : médecins généralistes installés et remplaçants en France (encore mieux si pratiquant de l’échographie)
Date limite diffusion le 15 décembre.
Contact (si besoin) : Echopul44@gmail.com
Lien questionnaire : https://jeanmarc44.limesurvey.net/378738?newtest=Y&lang=fr
Temps du questionnaire : moins de 10 min.
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🚗 Réouverture du parking souterrain de l’hôpital Jacques Monod le vendredi 6 septembre 2024 🚗 🅿️
🅿️🚗 Réouverture du parking souterrain de l’hôpital Jacques Monod le vendredi 6 septembre 2024 🚗 🅿️
Suite à l’incendie survenu fin juin, le parking souterrain réouvrira le vendredi 6 septembre 2024 ℹ️ 👍
⚠️ Les modalités de stationnement habituelles reprennent donc à l’hôpital Jacques Monod.
🔔 Pour rappel :
Concernant votre venue sur le site de l’hôpital Jacques Monod.
➡️ Le parking Nord souterrain, accessible immédiatement à droite dès l’entrée de l’établissement, est réservé exclusivement aux usagers (patients, visiteurs, consultants).
➡️ Les parkings Nord P1 et P2 extérieurs sont exclusivement réservés au personnel du GHH.
➡️ Le parking Sud est accessible aux usagers et au personnel.
📞 Pour plus d’informations, veuillez contacter notre standard au 02.32.73.32.32

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